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la crise sanitaire et ses conséquences

  • Par crapat
  • Le 04/06/2020
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            Venu d’ailleurs il y a quelques semaines, le coronavirus nous a frappé de plein fouet. Le monde entier est concerné et doit faire face à cette véritable pandémie. Le Sénégal n’est pas épargné et voit le nombre de cas augmenter tous les jours. La lutte contre le virus s’organise à travers tout le pays : mesures barrières à respecter par tous, mesures d’hygiène, interdiction de rassemblements, distance sociale, confinement, fermeture des écoles, universités et lieux de cultes etc…. Les frontières aériennes et terrestres ont été fermées le 19 mars et l’état d’urgence a été décrété ce 23 mars 2020. ,              

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 Le président Macky Sall a ajouté un couvre-feu de 20 heures à 6 heures. Alors, désormais, les quais de débarquement ne sont même plus ouverts tous les jours et les navires de pêche étrangers qui opèrent hors des eaux territoriales ne reviennent plus dans les ports sénégalais. Cette voie d’entrée dans le pays est fermée, comme les aéroports et les frontières terrestres

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 Ils sont couturiers, femme de ménage, menuisier ou vendeur. Certains n’ont pas de contrat, pas de protection sociale ou travaillent même exclusivement dans le secteur informel. Depuis le début de l’épidémie due au Covid-19 et les mesures de confinement prises dans leurs pays respectifs, ils ne peuvent plus poursuivre leur activité comme avant, au risque de ne plus pouvoir faire vivre leur famille.

« Certains ont déjà des problèmes pour nourrir leurs familles, car les travailleurs du secteur informel n’ont pas la culture d’économiser et vivent au jour le jour », constate Moussa Mbengue, secrétaire exécutif de l’Association ouest-africaine pour le développement de la pêche artisanale.

L’impossibilité de transporter la marchandise de Dakar vers les régions, la limitation des horaires d’ouverture des marchés, le couvre-feu, et évidemment la fermeture des hôtels et restaurants, tout le dispositif a conduit à réduire le temps de pêche en mer… et de priver de travail les petites mains du secteur.

             Tidiane Konté, père de famille dakarois sans emploi de 56 ans, serre entre ses doigts "le dernier reçu" de l'argent envoyé d'Espagne par son frère. Depuis l'apparition du coronavirus, les transferts des travailleurs émigrés en Europe se sont presque taris, mettant en difficulté de nombreux Sénégalais.

"Mon frère travaille dans des plantations à Saragosse (nord de l'Espagne). La dernière fois qu'il nous a envoyé de l'argent, c'était en février, 422 euros", soit près de cinq fois le salaire minimum au Sénégal, maugrée Tidiane Konté dans sa maison de Keur Massar, dans les faubourgs de la capitale sénégalaise.

                                Conséquence : "Nous ne mangeons plus de viande", dit-il.

La Banque mondiale estime qu'en raison de la pandémie de Covid-19, les sommes envoyées par les travailleurs migrants dans leur pays d'origine, qui représentent jusqu'à un tiers de l'économie de certains pays pauvres, vont chuter de 20% cette année, s'établissant à 445 milliards de dollars contre 554 milliards en 2019.

Cette baisse, la plus importante de l'histoire récente, est largement liée aux "pertes d'emplois, fermetures d'entreprises et mesures de confinement" dans les pays d'émigration, explique à l'AFP Dilip Ratha, économiste au département Migration et Transferts d'argent de la Banque mondiale.

Elle représente la "perte d'un important filet de sécurité pour beaucoup de familles pauvres et a un impact direct sur les dépenses consacrées à l'alimentation, à la santé et à l'éducation", souligne-t-il.

Le ministère sénégalais de l'Economie est même plus pessimiste : "On anticipe une baisse de l'ordre de 30% pour 2020" des transferts depuis l'étranger, indique un de ses responsables.

                                                Trois millions d'émigrés

Le Sénégal, ancienne colonie française d'Afrique de l'Ouest, est jusqu'ici relativement épargné par l'épidémie. Le pays compte moins de 1.000 cas et une dizaine de décès.

Mais les mesures destinées à endiguer la propagation du virus, comme l'instauration d'un couvre-feu, la fermeture des frontières et l'interdiction de circuler entre les régions rendent encore plus difficile le quotidien d'une population vivant en grande partie au jour le jour.

Les autorités estiment à environ 3 millions les Sénégalais partis travailler à l'étranger, notamment en France, en Espagne et en Italie, sur une population de 16 millions d'habitants.

Les quelque 2 milliards d'euros qu'ils envoient officiellement chaque année à leurs proches représentent 10% du PIB du Sénégal et un ballon d'oxygène indispensable pour de très nombreuses familles.

En comptant "les sommes versées par la voie informelle", ces montants peuvent même être doublés, estime un responsable du ministère des Affaires étrangères.

Ces dernières semaines, les envois ont toutefois baissé "d'au moins 25%", a constaté le gérant d'une boutique de Rufisque, autre banlieue de Dakar, où les bénéficiaires peuvent venir retirer leur argent.

"J'ai même fait quatre transferts destinés à des Sénégalais en Europe, que leurs familles ont voulu aider", s'étonne pour sa part une employée de banque.

Bouillie de mil

Même constat à l'intérieur du pays. "Nous nous débrouillons pour assurer, difficilement, les trois repas" quotidiens, affirme Fatou Seydi, première épouse d'une famille polygame de Kolda, en Haute Casamance (sud). Son mari, qui "travaille dans une ferme en Espagne" a suspendu ses transferts de mensuels de 300 à 450 euros destinés à nourrir les 15 membres de la famille.

Abdoulaye Cissé, jeune journaliste bénévole d'une radio de Kolda, ne peut quant à lui plus compter sur l'aide de son frère, émigré dans le sud de l'Italie.

"Il dit avoir l'argent mais ne peut pas l'envoyer à cause du confinement" dans la péninsule, qui l'empêche de se rendre dans les officines spécialisées dans les transferts internationaux. Les huit membres de sa famille ont donc "remplacé le lait et le pain du petit-déjeuner par de la bouillie de mil", dit-il.

D'autres Sénégalais sont retenus au pays par la fermeture des frontières aériennes. C'est le cas d'Abdoulaye Baldé, 45 ans, qui travaille "depuis une vingtaine d'années" dans un magasin de fruits et légumes de Barcelone et qui devait "reprendre le travail le 24 février".

"Je sais que j'ai perdu mon emploi. J'envoyais plus de 300.000 CFA (450 euros) par mois pour ma mère, mes deux femmes, mes enfants, mon frère et ma soeur. Je n'ai pas de revenus ici", soupire-t-il.

Le gouvernement sénégalais a prévu une enveloppe d'une vingtaine de millions d'euros pour "assister, soutenir et protéger" les travailleurs émigrés. Il a également lancé une vaste distribution de vivres pour soutenir les familles en difficulté aux quatre coins du pays.

Ces actions s’intègrent dans le plan de riposte du président Macky Sall, qui a annoncé la création d’un fonds de 1 000 milliards de francs CFA (quelque 1,5 milliard d’euros) pour faire face à la crise. Le Fonds monétaire international (FMI) vient aussi d’approuver 442 millions de dollars (406 millions d’euros) d’aide au Sénégal dans sa lutte contre la pandémie. Dans un second temps, le chef d’Etat a aussi promis des « mesures spécifiques » qui « bénéficieront aux secteurs les plus affectés », sans citer expressément le secteur de la pêche.

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Pandémie du COVID-19 : Le FIDA crée un fonds pour prévenir une crise alimentaire en milieu rural

                               20 avril 2020

Pour faire face à la menace que la pandémie de COVID-19 et le ralentissement économique font peser sur les vies et les moyens d’existence des populations les plus vulnérables, le Fonds international de développement agricole (FIDA) s’est engagé, ce lundi 20 avril 2020, à consacrer 40 millions d’USD pour aider les agriculteurs et les communautés rurales à continuer de produire et de vendre des denrées alimentaires, et a lancé un appel urgent pour obtenir des fonds supplémentaires.

Selon un communiqué de presse, le Mécanisme COVID-19 de relance en faveur des populations rurales pauvres est un nouveau fonds multidonateurs du FIDA qui vise à atténuer les répercussions de la pandémie sur la production alimentaire, l’accès aux marchés et l’emploi en milieu rural. S’inscrivant dans le cadre de la réponse socioéconomique plus large apportée par le système des Nations Unies, le Mécanisme assurera aux agriculteurs des pays les plus vulnérables la possibilité de disposer en temps voulu d’un accès aux intrants, aux informations, aux marchés et aux liquidités. Pour compléter sa propre contribution, le FIDA espère lever au moins 200 millions d’USD supplémentaires auprès de ses États membres, de fondations et du secteur privé.

«Nous devons agir dès maintenant pour éviter que cette crise sanitaire ne devienne une crise alimentaire, a déclaré Gilbert F. Houngbo, le Président du Fonds. Les retombées de la pandémie de COVID-19 pourraient plonger davantage encore les familles rurales dans la pauvreté, la faim et le désespoir, ce qui constituerait une véritable menace pour la prospérité et la stabilité mondiales. Il faut prendre des mesures immédiates et donner aux populations rurales les moyens de s’adapter et de se relever plus rapidement, de façon à éviter une crise humanitaire de plus grande ampleur. »

Suite aux limites imposées à leur liberté de circulation pour prévenir la propagation du virus, nombre de petits producteurs agricoles ne peuvent pas accéder aux marchés pour y vendre leurs produits ou y acheter des intrants comme des semences et des engrais. La fermeture des grands axes routiers et les interdictions pesant sur les exportations risquent également de nuire aux systèmes alimentaires. Face aux bouleversements qui touchent des chaînes de production entières et à la flambée du chômage, les plus vulnérables sont les travailleurs journaliers, les petites entreprises et les travailleurs su secteur informel, qui sont bien souvent des femmes ou des jeunes. Suite au confinement décrété dans les villes, certains travailleurs retournent dans leur village, intensifiant la pression sur les ménages ruraux, qui vont également souffrir de l’interruption des transferts d’argent.

Environ 80% des personnes les plus pauvres et la majorité de celles qui souffrent d’insécurité alimentaire vivent en milieu rural. Avant la pandémie déjà, plus de 820 millions de personnes ne mangeaient pas à leur faim. Dans le cadre d’une étude récente, l’Université des Nations Unies a déterminé que, dans le pire des scénarios, la pandémie pourrait faire basculer un demi-milliard de personnes supplémentaires dans la pauvreté.

«Cette pandémie met à mal les progrès accomplis ces dernières années en matière de lutte contre la pauvreté. Afin d’éviter de trop ébranler les économies rurales, il est essentiel de faire en sorte que le secteur agricole, les chaînes alimentaires, les marchés et le commerce continuent de fonctionner », a déclaré Gilbert F. Houngbo. Il a ajouté que «La plupart des populations les plus pauvres souffrent déjà des conséquences des changements climatiques et des conflits. En milieu rural, le ralentissement économique pourrait aggraver cette situation, exacerbant la faim et l’instabilité, en particulier dans les États fragiles. »

Le Mécanisme de relance en faveur des populations rurales pauvres permettra:

  • de fournir aux petits exploitants des intrants aux fins de la production agricole, de l’élevage et de la pêche, pour les aider à surmonter les effets immédiats de la crise économique;
  • de faciliter l’accès aux marchés afin d’aider les petits agriculteurs à vendre leurs produits en dépit des fermetures liées aux restrictions à la liberté de circulation, notamment en leur apportant un appui logistique et des moyens de stockage;
  • de fournir des fonds ciblés destinés aux services financiers ruraux, l’objectif étant de faire en sorte que des liquidités suffisantes soient disponibles, et de faciliter les remboursements d’emprunts à court terme afin de maintenir les services, les marchés et les emplois des ruraux pauvres;
  • de diffuser, grâce à des services numériques, des informations importantes sur la production, les conditions météorologiques, les services financiers et les marchés.

Le FIDA se réclame « d’une solide expérience d’intervention dans des situations de fragilité pour renforcer la résilience des populations rurales ». Pendant l’épidémie d’Ebola, en Sierra Leone, les banques appuyées par le Fonds avaient ainsi été les seules à fournir des services bancaires et financiers dans les zones touchées. Elles avaient apporté une aide rapide pendant l’épidémie et, une fois la crise passée, contribué au relèvement de l’économie rurale.

Déjà, avant la pandémie de COVID-19, le FIDA cherchait à intensifier ses programmes et avait demandé aux États membres de renforcer leurs investissements en faveur du développement rural, afin d’atteindre l’objectif de développement durable no 2, éliminer la faim. « Les interventions menées en réponse à la pandémie offrent l’occasion de reconstruire des systèmes alimentaires mondiaux plus durables et plus inclusifs, et de renforcer la résilience des populations rurales face aux crises, qu’elles soient sanitaires, climatiques ou liées à des conflits », a noté Gilbert F. Houngbo.

Selon le document de presse, les gouvernements de plus de 65 pays ont demandé au Fonds de les aider à faire face aux conséquences de la pandémie. Le FIDA a déjà commencé à adapter ses projets et à réaffecter des fonds pour répondre à ces demandes.  

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                            Lundi 8 Juin 2020             Education et crise sanitaire: Mamadou Talla ou la phobie d'une année blanche

Que pourrait-on reprocher au ministre de l’Education ? Pas d’avoir essayé de sauver l’année académique. Mais, le solo de l’Etat dans son entêtement, a quelque peu plombé l’envol d'une reprise et d’une pacification de l’espace scolaire. 

 

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Mamadou Talla et la grande bataille. Un titre qui colle au difficile contexte du secteur éducatif sénégalais. Coincé entre le ministère de la Santé et de l'Action sociale et le departement chargé des Transports, le ministre de l'Education nationale a une tâche très complexe. 

Selon les spécialistes de l’éducation, l’attitude du ministre de l’Education nationale a quelque chose de positif. « Il a au moins essayé à maintes reprises de relancer l’année académique.» Les aléas sanitaires du Covid-19 ne lui ont pas facilité la tâche. Repoussé à trois reprises, le redémarrage des cours dans les écoles a souffert, selon certains, « de tâtonnements spectaculaires de la part des décideurs ». 

Sous cet angle, sont masquées la volonté manifeste du ministre de l’Education nationale, son approche conciliante pour une gestion concertée avec les acteurs mais aussi la qualité du dispositif pédagogique mis en place pour la reprise des enseignements-apprentissages...À décharge. On peut lui reconnaître sa présence continue au front jusqu’au départ (dés) organisé du retour des enseignants  vers leurs lieux respectifs de travail. 

Dès lors, Mamadou Talla, depuis son arrivée au ministère, paie les contrecoups de l’image laissée par un prédécesseur va-t-en guerre, qui avait fini d’indisposer les enseignants et toute la famille éducative. Certes, les enseignants étaient en mouvement d’humeur pour des lenteurs administratives au niveau de la direction de la Solde, aussi, avaient-ils fini de reconnaître au nouveau ministre, son talent de négociateur et son attitude respectueuse envers un corps auquel il appartient. Et sa dernière déclaration au lendemain du retour des enseignants, a été saluée par les syndicats qui ont largement apprécié cette sortie de Mamadou Talla. 

Ces derniers qui, à visage découvert, vantent la rupture de leur ministre, ne rejettent aucune proposition dans laquelle ils sont associés et écoutés. « Enfin, un ministre qui nous respecte », s’est exclamé un syndicaliste membre du G7. A charge, Il revient, dès lors, à Mamadou Talla et à ses techniciens, de rallonger leur volonté de sauver l’année, par un rapprochement dynamique avec le G7 mais aussi avec le G20. 

Pendant huit ans, le secteur éducatif sénégalais a souffert d’une myopie de ses ministres. Avec cette lueur d’espoir dégagée par Mamadou Talla, que l’école puisse trouver une oreille attentive à ses problèmes aussi variés que complexes.  

En résumé , le covid a fait beaucoup moins de victimes qu'en Europe   mais il a mis à terre la population et surtout celle la plus en difficulté déjà avant l'apparition du virus 

        "si l'argent va à l'argent , la misère va toujours à la misère"

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             L'association  a cherché à avoir des informations sur la situation actuelle au Sénégal.

   Par le biais de Moussa KEBE, notre ami, chauffeur guide, nous a confirmé que la situation est déplorabl. La crise sanitaire a créé de lourdes conséquences sur la population.

        - la fermeture des frontières à provoquer la disparition des touristes, donc la fermeture des hôtels et la mise au chômage de leur  personnel .( cuisiniers, serveurs, femmes de ménége, piscinistes , jardiniers, hommes d'entretien...) chauffeurs, guides touristiques . 

- de plus le gouvernement a décidé de fermer les frontières intérieures entre chaque région et d'imposer un couvre feu à partir de 20 h ; cette décision a  bloqué le commerce intérieur, les camions frigorifiques transportant les poissons n'ont pas pu circuler. Les pêcheurs faute de revenus comme de nombreux sénégalais ne sont plus en mesure de se nourrir .

     En conséquence, la famine gagne la population en milieu rural .

          Le directeur de l'école de PASSA MAOUNDE Mr Boubacar BALDE :

Article pour le site de l’association 4 JUIN 2020

                                                   Boubacar Balde directeur de l’école de PASSA MAOUNDE

                         Bonsoir Lydie et Michel

Comment allez-vous ? Ici ? nous allons tant soit peu bien…. Tous les habitants du village de Passa Maoundé vous adressent des salutations amicales pour vous dire nous pensons à vous et avons votre nostalgie. Nous prions pour que vous et vos familles… soyez épargnés de cette pandémie.

 Ici au village, elle dicte sa loi, on ne sait plus à quelle fin se vouer la misère a fini de s’installer. Toutes les activés qui nous permettent de survivre sont bloquées par cette pandémie. Nos familles n’arrivent pas à assurer les trois repas aux enfants et voilà que nous entrons dans l’hivernage sous peu de temps c’est l’angoisse et la peur qui nous animent en ces moments.

Chers amis correspondants voilà d’une manière ramassée, la situation que nous vivons à Passa Maoundé

Les élèves devaient reprendre le chemin de l’école ce 2 juin 2020. Cependant, cela a été reporté à une date ultérieure parce qu’il y a des enseignants qui sont atteints du covid 19. Donc pour ne pas propager la maladie en milieu scolaire, les autorités ont décidé de reporter la reprise jusqu’à nouvel ordre

 Merci Lydie et Michel qui ménagent aucun effort pour venir en aide à nos enfants, soyez en remercier

J’étais au village aujourd’hui pour leur présenter l’argent et le reçu de retrait. Nous avons arrêté ensemble de faire les achats demain matin puis procéder à la distribution le même jour.

 Vous avez les remerciements des deux chefs de village du président des parents d’élèves et des membres du comité de gestion de l’école.

 D’ailleurs Papis Niang était en direct avec nous au téléphone il a parlé avec tout le monde les villageois sont contents de vous

         

 

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